Un texte à lire sur le blog de Phileo Sophia écrit par un ami Etienne Omnés…
Moi – « C’est vrai que la place des femmes n’a pas toujours été d’être devant la vaisselle et enfermée à l’intérieur. Ca a beaucoup varié selon les époques. Je lisais le martyr de Perpetua de Tertullien il n’y a pas longtemps, et j’ai été frappé par l’opinion extrêmement positive que Tertullien le mysogyne a de Perpetua la chrétienne: dans cette histoire les hommes ont un mauvais rôle, entre le père qui veut lui faire trahir Jésus et son frère qui pleurniche… et elle est magnifiquement décrite. »
L’autre (perplexe) – Oui mais… elle meurt à la fin. »
A ce moment-là, c’est moi qui me suis retrouvé perplexe. Mais bien sûr qu’elle meurt à la fin! C’est même sa plus grande gloire et son plus grand achèvement. C’est la culmination du positif dans le récit de Perpetua. Elle donne sa vie pour son Maître, comme les généraux romains qui sacrifient leur vie…
Voir l’article original 1 431 mots de plus