Faut-il craindre une nouvelle bulle technologique ?

Si Apple est la première entreprise à avoir franchi le cap des 1 000 milliards de dollars, d’autres stars de la tech sont prêtes à lui emboîter le pas : Amazon valait vendredi soir 889 milliards de dollars, Alphabet (la maison mère de Google) 856 milliards, Microsoft 828 milliards et Facebook 513 milliards. À elles cinq, ces entreprises représentent environ 20 % du PIB américain et plus que le PIB de l’Allemagne. L’ensemble des valeurs techs concentrent quant à elles plus de 25 % de la valeur du S&P 500, l’indice qui regroupe les 500 plus grosses entreprises cotées aux États-Unis.

Fin 1999, quelques mois avant l’éclatement de la bulle internet, les cinq plus grandes entreprises en Bourse (Microsoft, General Electric, Cisco, Walmart et Intel) représentaient 15,5 % du PIB américain, rappelle Russ Mould, responsable des investissements pour AJ Bell. « Tous ceux qui possédaient ces actions au plus fort de la bulle ont sérieusement souffert puisqu’ils ont perdu de l’argent sur ces cinq titres au cours des dix années suivantes », note-t-il. Sans prédire un arrêt brutal à l’ascension des stars actuelles du marché, « il est dangereux de penser que ce qui fonctionne actuellement va toujours marcher », affirme-t-il….

Lu sur le site : Lepoint.fr

« Si Apple est la première entreprise à avoir franchi le cap des 1 000 milliards de dollars, d’autres stars de la tech sont prêtes à lui emboîter le pas : Amazon valait vendredi soir 889 milliards de dollars, Alphabet (la maison mère de Google) 856 milliards, Microsoft 828 milliards et Facebook 513 milliards. À elles cinq, ces entreprises représentent environ 20 % du PIB américain et plus que le PIB de l’Allemagne. L’ensemble des valeurs techs concentrent quant à elles plus de 25 % de la valeur du S&P 500, l’indice qui regroupe les 500 plus grosses entreprises cotées aux États-Unis.

Fin 1999, quelques mois avant l’éclatement de la bulle internet, les cinq plus grandes entreprises en Bourse (Microsoft, General Electric, Cisco, Walmart et Intel) représentaient 15,5 % du PIB américain, rappelle Russ Mould, responsable des investissements pour AJ Bell. « Tous ceux qui possédaient ces actions au plus fort de la bulle ont sérieusement souffert puisqu’ils ont perdu de l’argent sur ces cinq titres au cours des dix années suivantes », note-t-il. Sans prédire un arrêt brutal à l’ascension des stars actuelles du marché, « il est dangereux de penser que ce qui fonctionne actuellement va toujours marcher », affirme-t-il…. »

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