Le Messager

Nous sommes le 25 mai 2020 et ce texte que je produis, écrit comme une rétrospective, introduira un ensemble de chroniques qui ont jalonné cette période de confinement et de déconfinement depuis la présence de la pandémie dans ce doux pays comme le chantait naguère Charles Trenet, le « Pays de mon enfance ». Pour beaucoup d’entre nous en basculant dans l’année 2020, première année d’une nouvelle décennie, nous étions à deux mille lieux d’imaginer dans quel monde nous entrions, le séisme civilisationnel que nous allions vivre. Ce qui était arrivé fut soudain, brutal. L’événement inattendu ne fut pas le déclenchement d’une guerre ou d’un tremblement de terre d’une vaste amplitude planétaire, mais sans doute les deux à la fois, un séisme au sens social et un bouleversement à l’échelle planétaire qui allait fracturer le monde, le mettre littéralement en pièces. Les structures sociales ont connu là un véritable choc planétaire, puisque quasiment à l’échelle mondiale, c’est l’ensemble du globe qui entra en confinement, un mot nouveau que je n’avais probablement jamais prononcé de ma vie. Dès le mois de décembre 2019, les autorités sanitaires sont informées et mettent sous surveillance une redoutable infection pulmonaire, dont la cause est un virus à couronne, le coronavirus. Ce virus, je l’ai nommé « la Reine Corona », cette reine sera l’une des trames de ce nouvel essai, comme un recueil de pensées, un journal de bord, une veille sur le déroulement d’une pandémie et ses implications sociales

Auteur

Eric LEMAITRE

Nous sommes le 25 mai 2020 et ce texte que je produis, écrit comme une rétrospective, introduira un ensemble de chroniques qui ont jalonné cette période de confinement et de déconfinement depuis la présence de la pandémie dans ce doux pays comme le chantait naguère Charles Trenet, le « Pays de mon enfance ». Pour beaucoup d’entre nous en basculant dans l’année 2020, première année d’une nouvelle décennie, nous étions à deux mille lieux d’imaginer dans quel monde nous entrions, le séisme civilisationnel que nous allions vivre. Ce qui était arrivé fut soudain, brutal. L’événement inattendu ne fut pas le déclenchement d’une guerre ou d’un tremblement de terre d’une vaste amplitude planétaire, mais sans doute les deux à la fois, un séisme au sens social et un bouleversement à l’échelle planétaire qui allait fracturer le monde, le mettre littéralement en pièces. Les structures sociales ont connu là un véritable choc planétaire, puisque quasiment à l’échelle mondiale, c’est l’ensemble du globe qui entra en confinement, un mot nouveau que je n’avais probablement jamais prononcé de ma vie. Dès le mois de décembre 2019, les autorités sanitaires sont informées et mettent sous surveillance une redoutable infection pulmonaire, dont la cause est un virus à couronne, le coronavirus. Ce virus, je l’ai nommé « la Reine Corona », cette reine sera l’une des trames de ce nouvel essai, comme un recueil de pensées, un journal de bord, une veille sur le déroulement d’une pandémie et ses implications sociales. Nous savons depuis ce mois de Mars 2020, que les effets de la pandémie seront redoutables, les conséquences dépasseront les seules étendues sanitaires. Les prolongements de la crise sanitaire embrasseront sans aucun doute la dimension interpersonnelle et tout ce qui touche aux interactions quotidiennes et dans toutes les sphères de la vie et ce qu’elle peut embrasser. Cette nouvelle dimension sociale issue de la crise sanitaire nous affectera pour longtemps et annonce pour chacun d’entre nous, un changement de paradigme, impactant l’ordonnancement civilisationnel.

Le coronavirus semble avoir émergé à Wuhan en Chine en 2019, son origine est un mystère entouré d’une chape de plomb : origine naturelle par transmission animale ou résultat d’un accident suite à une malencontreuse manipulation ? Nous ne le serons sans doute jamais, dans un pays où la liberté d’enquêter ne sera jamais autorisée. En janvier, je n’ai plus l’exact souvenir de la date, mais il m’a semblé avoir entendu parler vaguement d’un coronavirus qui sévissait dans la ville de Wuhan. Un virus qui semblait alerter les premiers lanceurs d’alerte chinois, mais n’inquiétait pas semble-t-il les autorités sanitaires européennes, la chine c’est si loin de nous, le nuage viral n’allait sans doute pas franchir nos frontières tel un certain nuage nucléaire. Mais le postillon viral lui se fiche pas mal de la géographie et de nos prétendus barbelés sanitaires malgré la ferme assurance de l’autorité mondiale de la santé qui affirmait en janvier qu’ « il n’y avait pas d’urgence de santé publique de portée internationale[1] ». Alors moi le lambda, l’inculte en matière de santé publique, je regardais ça de bien loin et cette affaire de postillon létal était comme une lettre non affranchie sans destinataire. Et donc cette lettre-là resterait à Wuhan, pourquoi s’en inquiéter quand bien même cette lettre, eût-elle été recommandée, cette lettre virale ne nous était pas destinée après tout. Mais les jours s’égrenaient avec des nouvelles plus inquiétantes. La portée létale de ce virus pathogène était bientôt tapie à toutes les portes des nations, mais pour être très honnête, ce fut le 16 mars 2020 et lors de l’allocution du président de la République que je prenais franchement conscience de l’ampleur mondiale de l’épidémie. Le verbatim anxiogène du président et le discours de nous enjoindre à nous claquemurer, me fit alors comprendre, qu’un événement sans pareil était en train de se dessiner. Pourtant le 16 mars 2020, à 13 h, peu avant le discours attendu du président Emmanuel Macron, je publiais une première chronique suivie plus tard[2] par d’autres textes, leurs compilations allaient donner ce nouveau livre, fruit d’une longue méditation autour d’un événement qui n’a pas eu d’équivalent dans l’histoire du monde au moins sur un seul aspect, son impact social. Car l’impact social a été certainement plus redoutable que l’impact sanitaire et les conséquences économiques augurent des lendemains d’une extrême gravité. L’histoire de l’humanité a connu des épisodes de contagions depuis les récits de l’Iliade en passant par les lectures des livres formant le pentateuque[3] et ce que nous rapporte l’histoire des pandémies, avec la peste noire en 1347, la grippe espagnole à partir de 1918 et d’autres pandémies plus récentes. Comme je l’écrivais dans l’une de mes chroniques, des mots soufflés par une amie, cette pandémie est un messager. Nous savons bien que notre époque est entachée de rationalité et que le mot fléau a été rarement employé, trop connoté sans doute. Pourtant que nous le voulions ou non cette nouvelle pandémie n’est pas dénuée de signes et de sens, en soi, cette pandémie porte bel et bien un message. Toute pandémie est en soi un révélateur, une image miroir de l’éco système que nous incarnons. D’ailleurs le livre du lévitique, un des livres de la Torah est étonnant à plus d’un titre puisqu’il insiste sur la dimension de l’assainissement, l’insalubrité ne faisant qu’aggraver les contaminations. En faisant systématiquement référence à un Dieu Saint, le lévitique impose aux Hébreux de se conduire avec sagesse et de s’accommoder des précautions sanitaires pour éviter toute propagation de la lèpre. Aussi cette pandémie du Coronavirus, ne nous interroge-t-elle pas sur nos rapports avec la nature, sur nos modes de consommation, sur nos choix en matière de production industrielle, sur nos conceptions concernant la vie urbaine, la mondialisation. La vitesse de propagation de la contamination virale du coronavirus, à plus d’un titre la pandémie, nous renvoie à nos modes de vie. N’y-a-t-il pas à travers le prisme de cette crise, quelque chose à assainir, à penser autrement ? N’avons-nous pas avec cette crise sanitaire, à remettre en cause notre façon de concevoir cette consommation qui est finalement responsable d’étalement urbain, de déforestation, de la dévastation écologique.  

Je fais ainsi mienne cette citation d’Aristote qui formula en ces termes une réflexion que nous pourrions bien nous approprier en ces temps d’épidémie mondiale : « C’est, en effet, l’étonnement qui poussa comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. [4]» et c’est pourquoi comme Monsieur Jourdain [Sourire], je fais de la philosophie, j’emprunte les paroles du sage Aristote pour questionner à mon tour, le sens de cette épidémie, sur son message touchant aux orientations écologiques, économiques, idéologiques. Ne nous sommes-nous pas tous fourvoyés dans cette marche sans limites, engagée depuis l’aube de notre humanité, depuis que nous avons été chassés en quelque sort du jardin d’Eden, décidé d’aller aux confins de l’univers pour aller à la quête d’un salut sans Dieu, jusqu’à tendre vers notre propre auto-divinisation. Citant toujours Aristote « apercevoir une difficulté et s’étonner, c’est reconnaître sa propre ignorance », la quête du philosophe n’est-elle pas en effet la quête de la sagesse. Une quête qui est celle « d’abord d’apercevoir une difficulté [puis] de s’étonner », qui se traduit également par cette capacité de discerner les temps, de lire les signes qui nous tétanisent.  Ces signes qui font irruption et viennent perturber le cours d’une vie, nous interrogent.  Quels sont les motifs de cette irruption de la Reine Corona, les causes explicites comme celles qu’il nous appartiendra de fouiller encore ?

Je lisais récemment l’Iliade, cette lecture de l’épopée légendaire liée à la civilisation grecque. Le premier chapitre [chant1] a une certaine résonance avec cette quête qui est de comprendre ce qui nous arrive. Nous apprenons toujours des mythes qui ont jalonné l’histoire de l’humanité, qui constituent en quelque sorte cette mémoire enfouie. Cette mémoire enterrée, renferme un trésor de sagesse et d’infinie intelligence, cette mémoire doit nous nous permettre tel un Graal arthurien, de saisir le message, de posséder en fin de compte une lecture qui nous fera avancer dans une période de questionnements. Dans le l’Iliade : épopée de la Grèce antique attribuée à Homère, « le dieu Apollon » envoie une peste meurtrière sur toute l’armée achéenne. L’un des personnages de Homère « Atréide », dans la première partie du récit, s’en inquiète, s’interroge et se questionne sur le sens de cette contagion qu’il interprète comme l’expression d’une irritation, celle du Dieu Apollon : « nous reproche-t-il des vœux négligés ? [5]». Dans une époque de désacralisation, toute référence et évocation spirituelle, suscite agacements, colère, et irritation.  Mais reprendre cette citation du poète, personnage conceptuel ou réel, est en soi intéressant, car le but ici est bel et bien de nous emmener au-delà de la légende, à nous requestionner sur le sens même de l’existence, le sens même des malheurs que nous traversons « nous reproche-t-il des vœux négligés ? ». Avec l’avènement du Coronavirus, nous vivons beaucoup plus qu’une mutation dans laquelle le monde d’autrefois se modifie, nous vivons surtout comme une remise en cause de nos négligences passées. Accepterons-nous alors de prendre en compte cette dimension de négligences, d’insouciances et d’irresponsabilités qui ont jalonné l’homme technicien, l’homme prométhéen tout au long de son histoire. Et si nous regardions de près la déclinaison des messages adressés par la Reine Corona :

Son premier message ne serait-il pas d’ordre anthropologique, celui qui s’inscrit dans la dimension relationnelle. Ne venons-nous pas en effet de vivre, et ce à l’échelle mondiale, un événement qualifié de « rupture anthropologique majeure » ? Cette rupture qui remet en cause l’instinct relationnel et grégaire, tout un pan de notre vie sociale. Ne vivons-nous pas également un défi certes pluriel : écologique, économique, mais surtout de dimension sociale. Cette dimension qui forme l’empreinte de la civilisation, c’est dire vivre ensemble, nouer des rapports aux autres ? Nous venons en effet de vivre au cours de cette crise sanitaire, une remise en question des interactions interpersonnelles, des libertés les plus fondamentales, via des mesures liberticides dont il a fallu s’accommoder et nous accommoder dans ce temps de déconfinement. La logorrhée guerrière employée par le président de la République a amplifié l’acceptation de ces mesures nous privant de rencontres collectives, d’échanges et de vies communautaires. Nous avons ainsi été gouvernés par la peur. En inquiétant ces populations au travers d’un verbatim intentionnellement comminatoire, les autorités du monde démocratique ont laissé finalement des traces psychologiques dans les mentalités, des traces délétères dans l’esprit de leurs citoyens. Le confinement a ainsi exacerbé l’envie de ne pas rompre les liens et nous a poussés à l’usage des applicatifs de vie sociale, comme ces plateformes de messageries, de vidéo conférence. Nous avons alors utilisé ces mondes d’écrans, d’empilements d’images « visages » comme les morceaux d’un puzzle mis côte à côte, simulant une vie sociale, mais une vie qui reste virtuelle. Nous nous sommes vite lassés de ces usages, en tout cas, pour ma part j’en suis fatigué. Ne faudrait-il pas ainsi entendre que la dimension relationnelle est le bien le plus précieux bien plus que la consommation du monde googlelisé ou de toutes ces plateformes virtuelles. 

Le deuxième message, corolaire du premier est celui qui touche à notre organisation sociale. La vie sociale est régentée bien souvent par le haut, omettant une gestion de dimension locale. Jamais dans l’histoire du monde, une telle pandémie n’a autant mobilisé les pouvoirs étatiques qui ont agi comme les protecteurs de leurs habitants. En regard d’épidémies passées, ce qui a été sans commune mesure, c’est bien en France, l’échelle de la décision qui est l’exact miroir d’un état jacobin qui ne fait aucune différence entre les territoires. La lecture du château[6] n’a pas ainsi mobilisé les lectures subsidiaires, plus proches des réalités locales. Les mesures administratives n’ont été ni étagées, ni proportionnées, ni adaptées aux réalités locales. Cette approche de la crise sanitaire et de sa gestion bureaucratique notamment celles concernant nos libertés est sans commune mesure avec les pandémies du passé. De la sorte que la grippe espagnole qui pourtant a fait cinquante millions de morts, n’a pas entrainée de mesures identiques à l’échelle de tous les territoires. Le confinement ; les mises en quarantaine n’avaient concerné que quelques régions.   

Le troisième message est celui de nos déplacements qui interagissent avec le climat, la pollution : Les modes de déplacements ont considérablement évolué, les mesures prises se calent finalement à l’ère d’une époque infiniment plus mobile et citadine qu’elle ne l’avait été hier. Aussi la propagation du Coronavirus vient en quelque sorte questionner ce monde de déplacements : mondialisés, ouverts, sans frontières, avec des impacts climatiques et un étalement considérable de sols minéralisés. Le coronavirus par ses effets, vient requestionner cette technologie des biens toujours augmentés, ces biens qui prétendent de permettre à l’homme de s’affranchir des distances. Mais l’obstination de l’homme consiste à enjamber justement ces distances. La crise a vu l’accélération du modèle numérique, les processus de digitalisation, de télétravail, de communications virtuelles, de services à la carte rendus par les applicatifs de la future smart city ne se sont jamais autant développés. Le coronavirus en nous reléguant au fond de nos quatre murs, nous a littéralement jeté dans les bras de nos artefacts, en nous plongeant dans le monde digital, nous obligeant, nous contraignant paradoxalement à davantage de distance sociale.

Le quatrième message nous montre le défaut patent d’une économie qui n’est plus fondée sur la proximité. Au fil de son histoire, l’humanité a bâti des empires, mais peu d’empires ont résisté, les empires d’hier sont relayés aujourd’hui par les empires mercantiles et cupides des multinationales, qui se sont octroyées le droit d’imposer les lois de leurs marchés. La crise économique sous-jacente se promet d’être effrayante pour toutes ces entreprises emblèmes et figures d’un monde ouvert et sans limites aucunes. Les multinationales se moquent parfois de l’éthique et préfèrent l’exploitation sans vergogne des états nations les plus pauvres, exploitant leurs ressources humaines, les richesses de leurs sols. Les multinationales comme les états les plus riches de la planète se croyaient à l’abri, mais très vite les milieux de l’automobile, de l’informatique, des politiques sanitaires […] découvrent la fragilité des interdépendances mondiales, un accroc dans une usine chinoise confinée induit nécessairement des perturbations en chaîne pour une myriade d’entreprises dans le monde pour l’acheminement de médicaments, de protections médicales. Les frontières fermées dans tel pays impacté par le covid19 conduit également à des pertes d’emplois dans telle autre nation. Nous sommes face à des jeux de dominos, et des fragilisations en cascade.  La crise pandémique obligeant l’arrêt des productions mondiales, faute de consommateurs, et l’on prétend pourtant que les entreprises qui sauront résister à cette pandémie mondiale, ce krach test, sont celles qui ont été les mieux préparées aux mutations digitales de notre époque. Celles-là dit-on, ont pu poursuivre le déploiement de leurs activités et les pérenniseront. Sauf que cette résistance est artificielle et masque une autre réalité, celle d’états en quasi-faillite, confrontés à un endettement écrasant, et dont la seule alternative sera d’articuler leurs survies avec une remise à flot qui passera par l’impôt, l’impôt que pourrait bien ne pas supporter les populations. Or le Covid19 agit comme un messager mettant en évidence qu’une seconde vague aurait alors des effets terribles sur le plan social.  Les lendemains d’une seconde vague annonceraient un climat qui pourrait conduire à une crise définitive de civilisation.  

Alors ce covid19 « nous reprocherait-il alors des vœux négligés ? ».  Les chroniques de ce livre pointent ces négligences, les détaillent, décrivent les travers de nos sociétés, anticipent même le monde dystopique qui s’organise sous nos yeux, si nous acceptions finalement la mécanisation de nos consciences et l’ultra sécurité sanitaire pour vivre à toutes fins le monde augmenté promis, la vie artificielle et « siliconée ». Le pire pourrait atteindre à nouveau l’âme humaine, si nous ne changions pas de voie, si obstinément nous décidions de poursuivre un monde sans écologie humaine, sans la proximité, sans la dimension relationnelle. Pour rebâtir un monde en pièces, c’est possible, mais il faut définitivement accepter de vivre davantage en proximité et mettre l’amour du prochain au cœur de la vie sociale, et en rétablissant notre relation avec celui qui est le créateur des cieux et de la terre.


[1] Extrait de la déclaration de l’OMS : https://www.la-croix.com/Monde/Asie-et-Oceanie/Coronavirus-lepidemie-10-dates-cles-2020-02-07-1201077010

[2] Le titre de cette chronique, la deuxième de l’ouvrage est l’ennemi, première chronique écrite le 16 mars 2016 à 13 h.

[3] Les cinq livres qui constituent la Torah. La tradition en attribue la paternité à Moïse

[4] Extrait de la citation : https://bjpphilo.wordpress.com/2016/09/03/aristote-origine-et-fin-de-la-philosophie-2/

[5] Œuvre de l’Iliade du domaine Public : Citation extraite du texte de l’Iliade Chant 1 https://www.atramenta.net/lire/oeuvre1507-chapitre-1.html

[6] Le château en référence à Kafka : Le Château aborde l’aliénation de l’individu face à une pesante bureaucratie qui n’entretient pas de relations avec la population

Auteur : Eric Lemaître

Passionné par les questions économiques, sociales ... engagé dans la vie de sa cité et marqué par le désir d'incarner sa foi chrétienne... Egalement Essayiste et Blogueur https://deconstructionhomme.com/category/actualites/

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