Ce blog associe des hommes et des femmes issus des sciences sociales et sciences dures alertés par les changements sociétaux et technologiques en cours.
Repenser le monde après le coronavirus
Il est urgent de réfléchir à d’autres modèles et changer de paradigme économique mais cela peut aussi passer par la réforme de notre cœur, gagné par des causses plus humbles et moins tenté par l’arrogance et le monde spécieux celui des apparences.
Si l’état manifeste une grande sagesse, il serait en effet pertinent de pas réinvestir dans l’industrie aéronautique, il serait même pertinent d’abandonner toutes les dépenses colossales nées de la mondialisation et de revenir dans l’urgence dans une économie de proximité, une économie également circulaire. Nous pourrions imaginer le plein emploi en rapprochant toute l’économie à une dimension strictement locale et en évitant de dépendre de la délocalisation en partie responsable de l’effondrement de notre système sanitaire.
Et si nous apprenions finalement la frugalité, la simplicité et le retour à une vie authentique… cette crise pandémique n’aura donc pas été inutile …
Il est urgent de réfléchir à d’autres modèles et changer de paradigme économique mais cela peut aussi passer par la réforme de notre cœur, gagné par des causses plus humbles et moins tenté par l’arrogance et le monde spécieux celui des apparences.
Si l’état manifeste une grande sagesse, il serait en effet pertinent de pas réinvestir dans l’industrie aéronautique, il serait même pertinent d’abandonner toutes les dépenses colossales nées de la mondialisation et de revenir dans l’urgence dans une économie de proximité, une économie également circulaire. Nous pourrions imaginer le plein emploi en rapprochant toute l’économie à une dimension strictement locale et en évitant de dépendre de la délocalisation en partie responsable de l’effondrement de notre système sanitaire.
Et si nous apprenions finalement la frugalité, la simplicité et le retour à une vie authentique… cette crise pandémique n’aura donc pas été inutile …
Passionné par les questions économiques, sociales ... engagé dans la vie de sa cité et marqué par le désir d'incarner sa foi chrétienne...
Egalement Essayiste et Blogueur
https://deconstructionhomme.com/category/actualites/
Voir tous les articles par Eric Lemaître
2 réflexions sur « Repenser le monde après le coronavirus »
Bonsoir Éric,
Imaginons une entreprise qui veut de manière très louable changer son activité pour préserver l’écologie de la planète.
Il lui sera nécessaire d’investir.
Si en parallèle de son investissement dans un domaine qu’elle ne maîtrise pas encore parfaitement, elle décide d’abandonner un atout majeur, reflet de sa performance, de sa compétitivité, de sa compétence, je pense qu’elle disparaîtra avant d’être utile à son objectif de protéger la planète.
Il en est de même à mon avis pour l’aéronautique qui projette de construire des avions avec motorisation électrique produit par l’hydrogène.
Abandonner ce secteur majeur en Europe et européen, serait à mon avis une erreur.
Les filières chimiques toxiques qui peuvent être remplacées par d’autres moyens sont peut-être une meilleure cible.
Tous investissements concourant à aider et à convaincre chaque humain à prendre sa santé en charge par prévention et pour son bien-être et économisant ainsi d’énormes sommes d’argent à la charge de la sécurité sociale serait sûrement une autre piste intéressante.
Je profite de ce mot pour te dire que j’ai un véritable intérêt à te lire. Amicalement et fraternellement, Leendert
Bonjour Leendert, ta remarque est en effet très pertinente… face à une crise majeure, l’état sera confronté à des choix draconiens, l’idée est ici d’ajuster les priorités en regard des besoins qui vont être abyssaux… Il semble qu’aujourd’hui l’hôpital est une priorité non contestable et s’imposera face au secteur aéronautique qui ne pourra s’appuyez que sur des fonds privés ou d’autres ressources… Pour autant, conduire des recherches dans les domaines de la motorisation dans de nouveaux types de combustibles comme ‘hydrogène, c’est plutôt une excellente idée… A cette industrie d’imaginer les ressources financières, mais je ne crois pas que ce sera la priorité des budgets de l’état..
Bonsoir Éric,
Imaginons une entreprise qui veut de manière très louable changer son activité pour préserver l’écologie de la planète.
Il lui sera nécessaire d’investir.
Si en parallèle de son investissement dans un domaine qu’elle ne maîtrise pas encore parfaitement, elle décide d’abandonner un atout majeur, reflet de sa performance, de sa compétitivité, de sa compétence, je pense qu’elle disparaîtra avant d’être utile à son objectif de protéger la planète.
Il en est de même à mon avis pour l’aéronautique qui projette de construire des avions avec motorisation électrique produit par l’hydrogène.
Abandonner ce secteur majeur en Europe et européen, serait à mon avis une erreur.
Les filières chimiques toxiques qui peuvent être remplacées par d’autres moyens sont peut-être une meilleure cible.
Tous investissements concourant à aider et à convaincre chaque humain à prendre sa santé en charge par prévention et pour son bien-être et économisant ainsi d’énormes sommes d’argent à la charge de la sécurité sociale serait sûrement une autre piste intéressante.
Je profite de ce mot pour te dire que j’ai un véritable intérêt à te lire. Amicalement et fraternellement, Leendert
>
J’aimeAimé par 1 personne
Bonjour Leendert, ta remarque est en effet très pertinente… face à une crise majeure, l’état sera confronté à des choix draconiens, l’idée est ici d’ajuster les priorités en regard des besoins qui vont être abyssaux… Il semble qu’aujourd’hui l’hôpital est une priorité non contestable et s’imposera face au secteur aéronautique qui ne pourra s’appuyez que sur des fonds privés ou d’autres ressources… Pour autant, conduire des recherches dans les domaines de la motorisation dans de nouveaux types de combustibles comme ‘hydrogène, c’est plutôt une excellente idée… A cette industrie d’imaginer les ressources financières, mais je ne crois pas que ce sera la priorité des budgets de l’état..
J’aimeJ’aime